Il y a quelque chose de triste et de mélancolique dans ces mots. On peut ressentir la douleur et la détresse de celui qui parle, celui qui se sent rejeté et incompris par les autres. C’est comme s’il était prisonnier de ses propres émotions, de sa propre différence, et qu’il ne pouvait trouver aucune échappatoire à cette souffrance.
La solitude est un thème qui revient tout au long de ce texte, avec cette image de quelqu’un qui se retire derrière sa plume pour s’isoler du monde et de ses regards. C’est comme si c’était la seule façon de se protéger de l’injustice et de la cruauté des autres, de se mettre à l’abri de leur jugement et de leur mépris.