Caprice de « roi » ou plutôt de président. Il lui faut des élections « libres, transparentes et démocratiques ». Et pourtant, par sa propre faute, il est le seul candidat en lice.
Qu’à cela ne tienne, pour plaire à la communauté internationale et aux observateurs internationaux, il faut lui dénicher un challenger sérieux, à même de donner à cette consultation électorale une tonalité particulière basée sur la possibilité réelle d’une alternance au sommet de l’État.
On lui en trouvera quatre, mais surtout un, taillé sur mesure. Style populeux, il séduit et grimpe dans les sondages. C’est le Candidat idéal. Le roi de la République a réussi son coup. Sauf que...