Il était comme un verre de terre devant elle. Il la fit assoir sur la balançoire sexuelle, suspendue à un plafond. Étant assise, il enchaîna ses mains aux extrémités de la chaise. Il prit une plume, une assez longue, et se mit à bichonner le torse de la jeune fille, arrivant sur ses seins. Elle resserrait ses mâchoires pour ne pas réagir à ses touchés. Il prit les pinces à tetons. Il utilisa les pinces chinoises, qui se serrèrent lorsque l’on tire sur les mamelons. Il prit ses seins par la bouche et se mit à les téter. Il avait répété cela plusieurs fois, pour que mirabelle réagisse.
Mais non. Elle était toujours là, résistante. Il s’énerva. Ce qui l’excitait, lui, était les cris, les supplications, les implorations. Il aurait aimé qu’on lui demande d’arrêter pour qu’il continue. Prise de tête, il regarda mirabelle.
--- : tu n’es pas soumise.
MIRABELLE : ou alors tu n’es pas un bon maître.
--- : pour quoi tu résiste ? Il faut te lâcher dis donc ! MIRABELLE : pour quoi tu ne m’excite pas ? Il faut me laisser partir. J’appellerai Flavia si tu veux.
--- : jamais. Aucune femme ne me résiste. Et tu ne seras pas la première. Il se précipita pour prendre un bandeau rouge et banda ses yeux.
Il la caressa en.....